• COMPTE RENDU DE LA RENCONTRE NATIONALE ECOLOGIE DU NPA





    Si on se parlait entre syndicalistes responsable nationaux....

    Cela aurait pu être le titre de la réunion débat qui s'est tenue a Rennes le mardi 22 février..Un petit évènement quand même, il y avait à la tribune Annick Coupé porte -parole nationale de Solidaire (qui regroupe notamment les Sud), Batiste Talbot secrétaire général d'une des plus importante;  fédération de la CGT , celle des services publics qui syndique notamment les territoriaux; Les causes de l'absence du représentant FSU resteront un mystère. Celle du représentant de l'Unef plus compréhensible avec les grèves des Facs...  Un évènement oui, ce type de réunion cela ne s'est jamais fait, à notre connaissance; et puis  aussi quand on lit par exemple le texte du camarade Le Reste responsable des cheminots CGT... un discours digne des années du stalinisme triomphant dans la CGT, puisqu'il fustige SUD rail considérée comme faisant le jeu  de la droite. Bien sût  les prochaines élections professionelles sont à venir... dur d'admettre qu'un autre syndicalisme, "de classe" , comme on disait, puisse exister et damer le pion de la premiere connfédération française.

     Mais à Rennes le débat fut à cent lieux de certaines divisions stériles qui peuvent occupent encore certaines sphéres dirigeantes. Il tourna autour de 2 grands thèmes, les suites de la journée historique du 29 janvier et sur la nécessaire recomposition  pour le  mouvement syndical , face aux contre réformes de Sarko &co et à la crise éconoimique et sociale provoquée par le système  capitaliste.. 

     La centaines de participants a nettement  apprécié le contenu de ces discussions; certes pas de mots d'ordre magiques pour gagner , pas de voies royales. Mais une chose paraissait évidente: c'est l'organisation de  "l'unité  à la base" qui est nécessaire pour assurer le succes sur les revendications, sans doute cela ne suffira pas. Entre ces 2 journées d'action, "c'est le gouvernement qui est en difficulté, pas nous" question : "quand la CFDT va t'elle sortir son stylo ?" une réponse fuse "le premier qui  quitte l'intersyndicale, il est mort". Sans tomber dans le simplisme, la situation aux Antilles permet aussi valoriser certains type d'organisation de la Lutte social avec ce large font qui regroupe tous les composantes du mouvement ouvrier..

     Quant à cette recomposition syndicale... Baptiste Talbot parlant en son nom propre, mit l'accent sur la dynamique qu'il fallait créer. Un front des syndicats ne suffira pas; il faut  susciter un mouvement d'adhèsion chez les non syndiqués qui sont quand même très majoritaires dans notre pays.Comment regrouper les syndicat qui veulent lutter contre le capitalisme  pour pouvoir entrainer avec eux une majorité de salariés. Voilà un bon débat qui pourrait traverser le prochain congrès de la CGT et pourquoi pas celui de La FSu et de Solidaires.

     Cette soirée avait été organisée par un collectif de syndicalistes unitaires d'Ille et Vilaine qui avait signé un appel appellant a l'union dans les luttes et à créeer des espaces de débat unitaire.

    (http://www.syndicalistes35.infos.st/

    jackaren


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  • Le football européen menace d'imploser, prévient Michel Platini

    Le football européen menace d'imploser financièrement si des mesures d'économie ne sont pas rapidement prises, prévient Michel Platini. Lire la suite l'article

    Dans un discours devant le parlement de l'Union européenne à Bruxelles, le président de l'UEFA a déclaré que l'instance dirigeante du football européen envisageait d'imposer des limites aux montants des salaires et des transferts.

    Cette proposition suscite l'hostilité de l'Association des clubs européens (ECA). La Premier league anglaise, qui attire quasiment tous les meilleurs joueurs, s'est prononcée contre un système de régulation financière au niveau européen.

    Pour Michel Platini, le football européen est menacé par sa pire crise financière en 80 ans.

    "Les clubs européens nous disent aujourd'hui que notre système est menacé à moyen terme d'une implosion financière", a dit le président de l'UEFA.

    "Nous examinons actuellement l'idée de lier dans une certaine mesure les dépenses de personnel d'un club, masse salariale et transferts, à un pourcentage à définir de ses revenus sportifs, directs et indirects", a-t-il ajouté.

    Platini a précisé que, dans le cadre de ce projet, les clubs ne seraient pas autorisés à dépenser plus de 50% à 60% de leurs revenus dans les salaires et les achats de joueurs.

    Ces revenus seraient définis par la vente des billets, la vente des produits dérivés, les droits télévisés et le sponsoring. Ne seraient pas pris en compte les investissements des propriétaires ou des actionnaires du club.

    "Depuis 15 ou 20 ans, on nous répète à s'en lasser qu'il ne faut pas réglementer, que le marché s'autorégule parfaitement, que les excès et les déséquilibres disparaîtront d'eux-mêmes, que la croissance des revenus du football est une spirale positive sans fin", a insisté Platini.

    SPÉCIFICITÉ

    "Nous savons aujourd'hui que tout cela n'est pas vrai: dans le football comme dans l'économie en général, le marché n'est pas capable de corriger ses propres excès, et ce n'est pas le président de l'UEFA qui le dit, c'est (le président américain) Barack Obama."

    Michel Platini pense que le football européen doit s'inspirer de la régulation financière dans le sport aux Etats-Unis, où existent déjà des mesures d'encadrement des salaires, même si la conception de la compétition sportive est fortement différente d'un continent à l'autre.

    La volonté de régulation de l'UEFA a été renforcée par la crise financière mondiale alors que l'afflux de milliardaires étrangers à la tête de clubs, notamment anglais, a provoqué une récente inflation des salaires et des transferts en Europe. Manchester City a ainsi récemment tenté d'acheter le Brésilien Kaka au Milan AC pour plus de 100 millions d'euros.

    Michel Platini a invité les institutions européennes à prendre en compte la spécificité du sport pour briser cette spirale.

    "Il existe toujours une tendance un peu perverse au sein des institutions européennes qui consiste à nier l'unité de la pyramide du football et à isoler son sommet professionnel. Et ceci a pour but d'accréditer l'idée fausse que la partie professionnelle du football est une activité économique comme une autre", a-t-il dit.

    "Cette négation de la spécificité sportive (...) a malheureusement encore cours dans certains milieux, dans certains services, qui considèrent le droit de la concurrence comme étant la loi fondamentale de l'Europe (...).

    "Je vais être clair et net et peut-être même un peu brutal. Nous refusons catégoriquement d'être enfermés dans une camisole de force ou dans des modèles préfabriqués qui reposeraient sur la fausse équation: sport professionnel = activité purement écon

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  • UNION DANS LES LUTTES
    Réunion débat

    mardi 24 février 17h30 19h30
     Maison des associations - Champ de Mars RENNES
    à l'initiative de =syndicats et de syndicalistes unitaires d'Ille et Vila
    ine


    avec
    Baptiste Talbot, =secrétaire général de la Fédération CGT des Services =Publics
    Annick Coupé, porte-parole nationale de =l'Union Syndicale Solidaires  
    un représentant  de  la =FSU
    un représentant de l'UNEF.
    Des délégués de secteurs ou de  boites en luttes (automobiles , =santé,  jeunesse       
    enseignants....) ont été également invités.




    La journée du 29 janvier a montré l'étendue de = l'exaspération des salariés de notre pays devant =l'ensemble des contre réformes du gouvernement et du MEDEF.

    Ce mécontement  est encore agravé par la profondeur de la crise =financière qui provoque une  crise économique et sociale dont on  =commence à mesurer la gravité.

     Il est  clair que les salariés du public et du privé, les =précaires, les jeunes et les retraités   ont montré avec force  =qu"ils ne voulaient pas faire les frais de "leur crise". C'est pour cela =qu'ils exigent massivement une augmentation forte de leurs salaires ( ou =pension), le refus des licenciements, le maintien et developpement des =services publics en premier la santé, l'éducation, la =recherche...
    Les salaries ont répondu présents à l 'appel unitaire de =l'ensemble des syndicats et  ce front syndical uni doit être un  =point d'appui précieux pour continuer cette lutte qui risque =d'être longue et difficile...
    Alors maintenant pour gagner il faut continuer, et déjà réussir =la journée de grève et de manifestation
    du 19 mars ...

    Et pourquoi ne pas prendre exemple sur les travailleurs de Guadeloupe de =Martinique et de La Réunion qui ménent des  gréves exemplaires =tant par leur organisation que par  leur détermination ?

    Le syndicalisme a besoin d'unité pour être un outil efficace. De =quelle recomposition syndicale avons nous besoin pour développer un =syndicalisme unitaire démocratique et de lutte?


    C'est de tout cela que nous vous invitons à =débattre...


    syndicalistes35.infos.st





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  • Appel de la coordination nationale étudiante réunie à Rennes les 14 et 15 février

    rennes.jpg

    Nous, étudiants de 63 universités réunis en coordination nationale à Rennes les 14 et 15 février, appelons à amplifier la mobilisation sur les universités par la grève réelle et reconductible des étudiants.

    Les enseignants chercheurs exigent le retrait du projet de décret qui vise à transformer profondément leur statut. Cette réforme fait de l'enseignement une sanction. Cela va réduire considérablement la qualité des enseignements, donc celle de nos diplômes et donc celle de nos conditions de travail. L'enseignement supérieur est frappé par une série d'attaques majeures. Depuis plusieurs années et en particulier depuis l'adoption en catimini de la Loi LRU en 2007, contre laquelle s'était mis en place une forte mobilisation étudiante, une série de mesures visent à transformer profondément l'enseignement supérieur. Les objectifs de la classe dirigeante sont simples : soumettre les universités à des logiques de compétitivité, de rentabilité, les mettant en concurrence les unes avec les autres, les obligeant à recourir aux financements privés.

    Nous, étudiants mobilisés, refusons la privatisation des universités et la soumission aux intérêts privés, nous refusons le développement d'un enseignement supérieur à deux vitesses. Nous refusons de nous voir délivrer des diplômes qui ne protègent pas dans le monde du travail et qui conduisent à la précarité. Nous ne serons pas de la chair à patrons.

    La LRU est le cheval de bataille commun aux étudiants enseignants et personnels. C'est derrière le mot d'ordre de l'abrogation de la LRU que le mouvement pourra s'unifier. Face aux attaques actuelles contre l'enseignement supérieur, nous devons bloquer les suppressions de postes et exiger le retrait des réformes suivantes :

    - la LRU

    - celle dite du recrutement et de la formation des enseignants

    - celle dite de l'allocation des moyens celle du statut des enseignants chercheurs

    - celle du contrat doctoral unique

    Le mouvement contre le CPE et la Loi sur l'égalité des Chances a démontré que seule la lutte paie. La mobilisation en cours démontre la volonté de ne pas laisser passer la casse du service public d'enseignement supérieur. Les étudiants doivent s'engager dans la lutte pour défendre les facs, les diplômes et les conditions d'études. Pour gagner sur l'ensemble des revendications, nous avons besoin de généraliser la mobilisation étudiante, de la doter de revendications propres sur lesquelles il est possible de gagner. La semaine qui vient doit permettre de faire passer la mobilisation étudiante d'une mobilisation de solidarité passive à une grève majoritaire, réelle et active des étudiants, seule à même de stopper la logique de libéralisation et de casse du service public d'enseignement supérieur. Aujourd'hui, nous devons amplifier la mobilisation étudiante par la grève, les manifestations, la convergence des luttes.

    La mobilisation étudiante doit se poursuivre dans la perspective de généraliser la grève à d'autres secteurs. Après la réussite de la journée de grève et de manifestation du 29 janvier, nous appelons au soutien de toutes les luttes en cours. Nous appelons d'ors et déjà à la nouvelle journée de grève et de manifestation interprofessionnelle à l'appel des syndicats de salariés le 19 mars prochain.

    Sans attendre, nous devons poursuivre la grève étudiante, c'est-à-dire la cessation totale et reconductible des cours. Nous appelons à une journée nationale d'action étudiante le Mardi 17 février, nous appelons à une journée nationale de grève et de manifestation étudiante le Jeudi 19 février.

    - Retrait de la réforme des concours d'enseignement dit de masterisation

    - Retrait du décret de l'allocation des moyens

    - Non aux suppressions de postes dans la fonction publique.

    - Recrutement massif dans l'éducation

    - Retour du cadrage national des diplômes et reconnaissance des diplômes nationaux dans les conventions collectives

    - Pour la mise en place d'un véritable système d'aide sociale étudiant basé sur des critères sociaux


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  • Communiqué du NPA. Retrait du projet de loi Bachelot.

    Depuis le 10 février, Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, défend son projet de loi « Hôpital, patients, santé, territoires » en tentant de nous faire croire que ce serait un mieux pour le droit à la santé de la population.Le NPA demande le retrait de ce projet de loi et soutient les mobilisations des personnels hospitaliers qui veulent faire barrage à une volonté de caporaliser et privatiser le service public hospitalier.

    Au lieu de développer le service public, de créer les milliers de postes nécessaires, d'ouvrir largement les formations médicales, la ministre de la santé veut liquider les hôpitaux de proximité avec à la clef la suppression de 20 000 emplois, remettre tout le pouvoir à des « préfets sanitaires » à travers les Agences régionales de Santé, gérer les hôpitaux comme des entreprises avec à leur tête des patrons-managers ayant un objectif : la marchandisation de la santé.

    Ce projet de loi ne répond en rien aux besoins des personnes et des territoires, au besoin de financement de l'hôpital public.

    Ce projet de loi prépare la privatisation des hôpitaux publics. Il ne prend pas en compte les besoins en personnels, ni l'aggravation des conditions de travail de ceux et celles qui sont en poste.

    C'est pourquoi, le projet de loi de Roselyne Bachelot doit être combattu par un vaste mouvement populaire réunissant les personnels hospitaliers, la population et les élus qui voient s'aggraver la désertification de leurs territoires.

    Le 12 février 200

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